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 Kurt Mortis (Finit)

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MessageSujet: Kurt Mortis (Finit)   Kurt Mortis (Finit) I_icon_minitime15/10/2012, 16:34



Mortis, Kurt






27 années
Noble déchu
Poète, violoniste.
Française
Le démon, le mal,
Faire une mélodie sur les ténèbres
Immoral
Ouvert d’esprit, raisonné
Peu scrupuleux, manipulateur
Intelligent, rusé
Imbu de sa personne
Artiste de talent

Mon histoire

Kurt Mortis le poète maudit n’est pas née sous ce nom la, lorsqu’il vint au monde, son rang et son nom était forts différents. Ainsi, il naquis il y’a 27 hivers dans château de campagne, entourés d’une famille nombreuse qui attendait avec impatience l’arrivé de Robert d’Orléans. Issu d’une famille noble, sa naissance fut fêté dignement et son père, seigneur de terre vaste et de maints foyers, présenta a ses nombreux invités et clients son digne descendant. Sa mère quand à elle, bien qu’issu d’une famille bourgeoise et non noble, fut applaudit pour avoir supporté un accouchement qui fut long et éprouvant…On aurais dit que quelque chose empêchait cette naissance, car elle dura plusieurs heures.
Quelques années plus tard, Robert d’Orléans devint un enfant distrait, rêveur et timide qui ne semblait jamais accordé grande importance à ce qu’il se passait sous ses yeux. Ses tuteurs trouvait en lui un élève digne d’intérêt, qui semblait tout comprendre a grande vitesse, mais tout oublié tout aussi vite. Les mathématiques, l’orthographe, la musique et l’écriture, rien ne lui résistait longtemps, pourtant, Robert ne rêvait que de longue balade en pleine nature et il inventait toujours moult stratégies diverses et variés pour ne pas finir dans son bureau d’étude.

En dehors de cela, Robert passait la plupart de son temps à lire des livres qu’il chipait dans la bibliothèque de son père. Le futur poète maudit aimait tant lire les grandes œuvres du passé, poésie, art de la guerre, traité d’architecture, récit d’histoire et de bataille, son esprit génial mais vite distrait était un trou béant, dans lequel se déversait une quantité d’information astronomique…Cela inquiétait grandement son père, qui au fil des années, se demandait si cet enfant était incapable de jouer parmi les autres têtes blondes de son âge.

En réalité, les distractions n’était pour Robert d’aucun intérêt, seul le savoir l’intéressait, il voulait tout connaitre, de la géographie des cotes du nouveau monde en passant par l’histoire du duché Rus de Kiev. Ses parents, en voyant leur enfant ayant atteint dix ans sans jamais développé une relation d’amitié avec un autre enfant finirent par avoir l'idée d'envoyer leur fils dans le cantonnement militaire du frère du père, George d’Orléans, pour lui apprendre une méthode de vie plus virile et où l’entraide entre homme et l’amitié était primordiale.
Grandement déçu par cette décision, notre jeune homme tenta d’éviter l’arrivé de son oncle en partant en forêt, mais au final, il réapparut en pleine nuit, trempé jusqu’au os et l’air plus pitoyable qu’un chien miteux.

Finalement, après quelques claques et remontrances de son père et pleurs et questions dignes de l’inquisition de sa mère, Robert fut raccompagné au lit et le lendemain matin, partit avec son oncle en direction du cantonnement des soldats du roi, a plusieurs dizaines de lieux de son foyer.

C’était, sans le savoir, la dernière fois qu’il voyait la demeure ses parents de leur vivants et plus jamais, il n’aurait de chez lui.
Deux semaines plus tard, après un voyage où son oncle ne lui avait adressé la parole qu’une dizaine de fois, il arrivèrent en vue de la base militaire et Robert sut directement qu’il ne serais jamais a sa place ici.

Toutefois, déjà doué d’un grand talent pour masquer ses émotions, il félicita son oncle pour la bonne tenu de son cantonnement, chose qui eut pour effet de décrisper son oncle.
George d’Orléans, l’oncle de Robert, était un homme très différent de son frère, il était plus grand, moins courtois et noble que celui-ci, il était la plupart du temps grave, voir morose et le reste du temps, il était tout simplement désagréable avec tout ceux qu’il considérait comme ses inférieurs et froid avec ses supérieurs. Colonel dans un régiment de fusiliers, il apprit bien vite la rigueur de la vie militaire a son neveu et celui-ci n’eut jamais le temps, toute la durée de sa présence au camp, de lire un livre. Cette escapade militaire, qui ne devais à la base que durer quelques semaines, fut prolongée et prolongée…Bientôt, deux ans se furent écoulés et Robert demanda a son oncle de retourner au château d’Orléans, afin d’avoir des nouvelles de ses parents. Son oncle fit cette réponse :
" Tes parents t’écrirons quand ils souhaiterons que tu revienne, en attendant, tu n’est pas capable de manier un fusil, tu n’est pas a mon sens encore un homme capable de t’en sortir, alors prie dieu de manquer à tes parents et retourne t’entrainer, il faudra aussi que tu aille aider en cuisine et enfin que tu aille creuser les latrines ! "

Robert d’Orléans n’avais jusqu’alors jamais pensé a dieu, bien entendu, il priait comme on lui demandait, allait à la messe et essayait d’appliquer au maximum les valeurs chrétienne, plus par éducation que par réel ferveur. Toutefois, il ne comprenait pas pourquoi devait-on prier un être jamais vu pour que quelque chose arrive.
Mais le futur poète maudit obéit et pria, il passa toute la nuit devant la chapelle du camp et se récitait intérieurement ce qu’il désirait plus que tout : Revoir sa famille.
C’est de cette attente que naquit la haine de dieu dans le cœur du jeune homme, car jamais il ne la revit,, et tout ce qu’il retrouva de son chez lui et de sa famille, plusieurs mois plus tard, était des cadavres pendus et carbonisés et un château en ruine.

En effet, une révolte paysanne eut, pendant l’absence du jeune homme, raison de sa famille. Les bougres, accablé par la famine et les impôts, se retournèrent contre les seuls puissants qui tentaient vainement de les protéger des impôts royaux et religieux, la famille d’Orléans.
Après avoir découvert la haine de dieu, Robert d’Orléans, qui n’avait plus de famille qu’un militaire acariâtre, découvrit la haine du peuple et des gens communs.

Une nuit plus tard, alors qu’il enterrait de son mieux les restes pendus et calcinés de ses parents, Robert découvrit dans les ruines de son château un livre qui avait résisté aux flammes. Celui-ci était un recueil de poème et s’appelait « la balade de Sir Mortis ». Après avoir enterré ses parents, il se mit a dévorer ce livre, sous un arbre qui le protégeait de la pluie qui tombait depuis le début de la journée. La nuit ne fut d’aucun repos a Robert, mais elle lui donna un nouveau nom : Kurt Mortis.
Ce changement de nom répondait a deux besoins : La famille d’Orléans étant désormais pourchassée par les paysans, il n’était pas bon de se présenter comme l’héritier de cette dernière…Et aussi pour ne jamais avoir a retourner au près de son oncle qui devait bien avoir entendu des choses de ce soulèvement, mais qui n’avait jamais rien tenté pour sauver son frère.

Et c’est ainsi que le nouveau Kurt Mortis, du haut de ses treize années, avait tout perdu ; famille, nom, maison, ne lui restait qu’un livre ainsi que des habits de voyage qui ne valait pas grand-chose.
Plusieurs jours furent nécessaire a notre jeune homme pour abandonner les reste de son ancienne vie, il prit le temps de rassembler ce qui pouvait l’être. Il trouva parmi les décombres un coffre fort dont la combinaison n’était autre que sa propre date de naissance, a l’intérieur, il trouva suffisamment d’argent pour passer les cents prochaines années dans un luxe patenté, ce qui était en soit fort pratique.

Une fois qu’il eut fait le deuil de ses parents, il décida d’arrêter de vivre dans les ruines de son ancienne maison et reprit la route…Il était riche d’argent, mais pauvre de tout le reste et il n’était pas assez rêveur pour ne pas croire que la première bande de brigand qui passerais par la le flouerais de son héritage, raison pour laquelle il décida de ne pas prendre les routes mais de se repérer grâce aux étoiles, sa destination ? Paris, car il lui fallait bien aller quelque part et qu’il n’avais jamais entendu que du bien de la ville lumière.
Un mois de marche à travers forêts et campagnes lui furent nécessaire, il avançait lentement, en ne marchant que de nuit et en se reposant le jour, car il avait lut que c’était ainsi que faisait les hommes qui devait être discret, et un jeune homme de bonne famille perdu en pleine cambrousse avait grand besoin de discrétion. Il vivait en solitaire, évitait toute personne qu’il croisait et ne mangeait que le minimum sur ce qu’il avait put trouver dans les décombres de sa maison.

Après plusieurs semaines à vivre comme une ombre des forêt, agissant comme une bête traquée, Kurt Mortis arriva en vue de la ville lumière. Sa première action fut de trouver des vêtements, une voiture et un appartement digne d’un homme de sa stature. Il se présentait comme le Sir Mortis, issu d’une riche lignée de noble Lituanien et qui passait ses années d’études a Paris, envoyé par ses parents, son manque d’accent s’expliquait par une mère française qui lui avait appris à parler le français avant même de parler le Lituanien.
Progressivement introduit dans la bonne société parisienne par son charisme, son intelligence et ses divers dons en matière d’écriture et de violon, il passait pour un mécène des arts, achetait bon nombre de peintures, mélodies ou statues qui décorait son hôtel particulier.
Mais le jeune homme, troublé par une vie qui pouvait être issu du cauchemar d’un écrivain russe, était déjà brisé par les expériences diverses auxquelles il avait survécut. Il sombra bien vite dans l’opium et l’absinthe, dans lesquels il trouva un réconfort que ne lui apportait ni les amis, ni la richesse. Poussé par la haine de Dieu et des hommes qu’il entretenait en son fort le plus secret, Mortis organisa plusieurs orgies décadentes chez lui, où le stupre et la luxure n’était que trop présent, ce qui renforça encore sa position dans la bonne société française, en le faisant connaitre comme un mécène d’art…Plus charnel, dirons nous.
Esclaves a plaisir, drogues, prostitués, alcool, telle furent les repères que le poète maudit eut dans toute la continuité de son adolescence.

Mais un beau jour, une de ses amies lui présenta un certain Edmond De Brasque, un noble qui n’avait put résister a l’attrait de la ville lumière. Cet homme et Kurt Mortis sympathisèrent bien vite, car Edmond devint un des clients les plus réputés des diverses établissements de débauches que Mortis avait ouvert a Paris, fructifiant ainsi la fortune dont il avait hérité à la mort violente de ses parents.

Edmond était un homme secret, à raison, et une nuit, il s’invita de lui-même dans les appartements de sir Mortis pour lui parler. Le sujet de cette discussion n’était autre que la haine du Divin, et donc de l’adoration du Malin…Sujet qui ne pouvait qu’intéressé Kurt, qui s’était depuis peu grandement intéressé a tout ce qui avait un rapport avec le démon.
En effet, Edmond De Braque était un sataniste convaincu et il proposa a Sir Mortis un pacte, où Edmond pouvait a loisir organiser des soirées en l’honneur du prince des ténèbres dans les sous-sols d’un opéra que Mortis avait acheté, où Sir Mortis procurait esclaves a sacrifier en échange d’une bonne somme d’argent.

En réalité, l’argent n’avait pas d’importance pour le poète maudit, tout ce qu’il voulait, c’était assister a ces cérémonies…

Sa première messe noire, où Mortis fut présenté aux membres de la secte satanique, reste peut-être l’un des meilleurs souvenirs du poète du malin…Tout y était, débauche, drogues diverses…Et le sacrifice humain, où une jeune fille que le mécène des arts noirs avait kidnappé dans un couvent fut violentée, torturée puis sacrifiée par Mortis lui procura ce qu’il manquait dans sa vie : Le plaisir…Pas un plaisir charnel non, mais un plaisir qu’il n’avait plus ressentit depuis sa plus tendre enfance, pendant qu’il dominait les insectes en les découpant…Un plaisir de domination totale sur un être vivant…En somme, le seul plaisir qui pouvait encore prendre forme dans l’esprit torturé et malade du jeune homme.

Edmond et le mécène des arts noirs devinrent de plus en plus proches, en fait, un peu trop proche, tellement qu'un beau jour, Edmond se mit en tête que seul le sacrifice de son meilleur ami, qui n'était autre que notre Mortis, pouvait amener sur lui la bénédiction de Baal, un démon majeur...Chose qu'il essaya, sans parvenir a rien de plus que gagner un aller direct pour le fond de la seine, avec pour compagnie les membres de la secte qui n'appréciait guère de voir la disparition de leur chef et l'apparition, sans vote, d'un nouveau chef, qui n'était autre que Mortis, bien entendu.

Plusieurs années s’écoulèrent ainsi, où rien d’intéressant ne se passa, Mortis était un célibataire envié de la ville lumière, sa richesse, la maitrise de ses arts et son charisme était enviés par les hommes comme par les femmes. Kurt aurait put avoir n’importe quelle épouse, mais il se refusait a même penser a des plaisirs plus sains de la vie que ceux qu’il connaissait déjà. Pour lui, l’amitié et l’amour n’était rien, seule l’excitation dut aux hurlements de peur, de terreurs et de supplications d’une jeune âme intacte devant lui pouvait réveiller en lui une joie quelconque. Le plaisir d’un amour entre deux âmes et deux corps ne lui inspirait que mépris…Pourquoi donc attendre quelque chose de quelqu’un, alors qu’on peut le prendre sans le consentement de la personne ?

Bien entendu, de telle manières aussi peu catholiques lui firent beaucoup d’ennemis parmi les défenseurs des bonnes mœurs. Ainsi, un jour, il fut défié par un père ingrat, qui était quelque peu énervé de voir sa fille participé a des soirées de débauches où celle-ci était montée par plusieurs individus masqués.

Du haut de sa vingtaine d’année, Mortis ne maitrisait qu’une arme, le fusil, l’épée était pour lui bien trop noble pour l’intéresser, mieux valait ne rien risquer et écraser un insecte de loin et par surprise …Toutefois, l’idée de tuer un homme en plein défi était charmante, alors il accepta, il demanda en échange que si il gagnait, la fille déshonorée lui appartienne a jamais, en revanche, si il perdait, que toute sa fortune soit donné au père trop orgueilleux.
Le duel fut organisé au lever du soleil, sur le près au clerc, terrain habituel pour pareil défi, les armes choisis furent les pistolets.

Vint alors le moment où les deux duellistes braquèrent leur armes l’un vers l’autre, un sourire mauvais naquit sur le visage du mécène des arts noirs, et ils tirèrent…
Le père tomba immédiatement au sol, sans un bruit, une balle en pleine tête, toutefois, un hurlement de douleur déchira le ciel et Mortis s’effondra a son tour, une balle dans le pied.

De cette blessure, Mortis garde encore une démarche un brin saccadée, plusieurs souvenirs de plaisirs sur une jeune fille ainsi qu’une sorte d'atèle en acier qu’il doit porter autour du pied, sans laquelle il ne peut marcher sans ressentir de vive souffrance.
Bien entendu, Cela força le mécène des arts noirs a se procurer une canne, hors de prix, dans laquelle il fit installer le prototype d’une nouvelle arme a feu issu des armuriers anglais, cette arme, caché dans une canne de marche a la poignée a tête de lion rugissant en argent, lui sauva bon nombre de fois la vie et lui permit souvent de prendre celle d’autres personnes par surprise.

Plusieurs années plus tard, alors que sa fortune prospérait d’une manière plus qu’indigne, Mortis fut forcé par plusieurs procès contre sa personne de s’éloigner de la capitale afin de se faire oublier, il acheta un château en Normandie, dans lequel il organisait de nombreuses orgies sur ses gens afin de tromper son ennui grandissant, il en profita pour commencer la recherche qu’il as toujours, celle de créer un poème et une mélodie capable d’invoquer les démons.
Cet d’ailleurs dans ce château qu’il entendit parler d’un certain couvent où se passait des horreurs sans noms qui excitait l'imagination du poète du Malin, et après quelques semaine d’hésitation, il fit atteler sa voiture et partit en direction de cet endroit reculé.




Mon caractère

Robert d’Orléans, ou plutôt Kurt Mortis, est un homme a l’esprit contre nature et systématiquement immorale, pour lui, tout ce qui est bon pour les personnes morales est indigne d’intérêt, hypocrite, voir même tout simplement a éradiquer.

Si quelqu’un savait lire dans les pensées, il deviendrait directement fou en apercevant les ténèbres et les horreurs qui fourmillent dans les divagations du poète du malin, voila le résultat d’une déception dont il ne guérira jamais. Pourtant, Sir Mortis apparait pour les inconnus comme un homme sensible, digne de confiance et peu enclins a la trahison…En effet, personne n’a survécut a l’un des nombreux retournement de loyauté que peu faire notre mécène des arts noirs pour le dénoncer. C’est un homme qui n’aime pas la loyauté, ainsi, si il doit vous combattre, il usera de milles stratagèmes vicieux pour détruire votre réputation avant de venir vous chercher, dans votre plus grand moment de faiblesse, par derrière et par surprise.

L’honneur ? L’amitié ? La loyauté ? Autant de mots qui sont la raison de la mort des tous les idéalistes, Kurt ne reconnait rien de plaisant a tout cela et préfère la corruption, l’argent ou la trahison…

De plus, Mortis ne ressent aucun plaisir a séduire et a gouter au fruit défendu avec l’accord d’un membre du sexe opposé, pour lui, le péché doit être pris de force pour être intéressant, sans quoi on se rapproche trop d’un sentiment qui pourrais le faire vomir : L’amour.

Kurt est d’un intelligence supérieur aux gens du commun, il le sait et en abuse, toutefois, une telle fierté est peut-être le grand point faible d’un être qui n’en as que si peu, une trop grande fierté dans son esprit rusé et qui ferait pâlir un démon bouffi d’orgueil.
D’ailleurs, voir un de ses plans ne pas se passer comme prévu est peut être l’une des rares choses a pouvoir faire éclater la colère de l’homme aux cheveux blancs…D’ailleurs, cette colère est irraisonnée, brutale, sordide par les dégâts qu’elle peut causer a tout ce qui est trop près du poète du malin quand cette rage incontrôlable saisit le cœur torturé du mécène des arts noirs.



Hors Rp

-Une remarque/ Suggestion à faire ? Non.
-Votre âge ? 22 ans
-Vous engagez-vous à poster au moins deux messages par semaine ? Certes !
-Votre première impression du forum ? « C’est sombre. »
-Rang désiré : Poète du Malin








© Never-Utopia



Dernière édition par Kurt Mortis le 15/10/2012, 21:34, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Kurt Mortis (Finit)   Kurt Mortis (Finit) I_icon_minitime15/10/2012, 19:53

Pour commencer....Bienvenue en ces lieux sinistre cher poète.

Uhm...Que dire? Beaucoup de choses évidement!

Tout d'abord, j'aime bien l'histoire...Elle me rappel quelqu'un, je sais pas pourquoi tien...
Par contre... Tu dois vérifier (encore) tout ça. Pourquoi? Plusieurs erreurs de syntaxe, il te manque des mots à certain endroit pour que tous soit cohérent. Plusieurs fautes d'homophones...tu les connait j'espère...

Aussi, à un endroit de ton histoire, tu saute de Robert à Kurt sans nous avoir encore spécifié qu'il avait changé de nom à ce moment. Pour continuer, tu nous a introduit Edmond dans ton récit, mais il en est devenu quoi? AH oui, une dernière chose. Au moment du duel, tu as écrit qu'ils étaient face à face. Comment Kurt aurait put prendre une balle dans le talon simple logique non?

Bref sinon....Malgré toutes ces petites erreurs...Je trouve l'ensemble bien. J'ai pleins d'idée pour Kurt. Nous en parlerons plus tard. Ah et une dernière chose pour vrai...Juste pour être bien chiante comme il faut, Edit ta fiche pour enlever les point d'interrogation entre Mortis, Kurt et mon histoire.
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MessageSujet: Re: Kurt Mortis (Finit)   Kurt Mortis (Finit) I_icon_minitime15/10/2012, 22:29

Ayé, j'ai tout fait maitresse !...Plus taper, plus taper pitié !
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MessageSujet: Re: Kurt Mortis (Finit)   Kurt Mortis (Finit) I_icon_minitime15/10/2012, 22:41

Je savais pas que mes mots te tapait Twisted Evil je devrais le faire plus souvent....bref!

Je vois encore quelques fautes mais je ne vais pas en faire un drame. Oui je peux être gentille parfois...
Je te met dans le groupe des Villageois ainsi que ton rang; simple poète macabre et déjoncté What a Face
Hésite pas à aller t'inscrire dans le registre personnel des intrigants ( oui tu va avoir un plaisir fou à le faire je le sens ) afin que les autres membres puissent voir tes sujets et te demander un RP.



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