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 Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy

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villageois
Antonin Duroy
Antonin Duroy


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MessageSujet: Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy   Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy I_icon_minitime22/3/2015, 02:51

feat James McAvoy
Antonin Duroy
"Je n'aime pas les gens qui ne rient jamais. Ce ne sont pas des gens serieux"

Summer 3 Presto by Vivaldi on Grooveshark


Présentation




« Bonjour !
Je m'appelle Antonin Gabriel Jean-Baptiste Anselme Duroy et l'on me surnomme toujours par les plus terribles injures. Je suis né le 20 avril à Paris, ce qui me fait 19 printemps. Je suis un piètre gentleman. Je suis sexuellement libéral et actuellement sur tous les fronts. Mon principal défaut est ma débilité notoire et ma qualité majeure est ma virtuosité artistique. »

Taille : D'une bonne mesure.
Poids : Absolument chétif.
Groupe : Villageois ou Enfant du Savoir m'iraient bien.
Métier : Bon-à-rien et traîne-misère pour les analphabètes et les béotiens. Ecrivain, dramaturge, philosophe, quelques fois musicien, parfois peintre pour tous les autres
Ambition : M'échapper de ce trou. M'envoler pour Versaille. M'y faire reconnaître. Baiser une chevalière. Vivre d'art et de bon vin.

Physique



Enfant, Antonin était un garçon au physique pénible et à l'attitude ingrate. Sans charme ni vivacité, il avait cette même complaisance médiocre que tous les bourgeois de son patelin natal. Le visage trop rond, le sourire trop large, les lèvres trop fines, les épaules trop maigres. C'est en lisant qu'Antonin cultiva son charme. Qu'il apprit à se tenir, à s'habiller.

Antonin, dans ses grandes ambitions, tient une prestance digne couplée d'une tenue paresseuse et nonchalente. Le dos droit comme un I mais le regard lassif et le sourire indolent. Le menton haut et fier mais les épaules lâches. Il dégage une assurance impérieuse mais très arrogante. Sa nervosité ajoute ça et là cette touche de pathétique qui rend sa présence parfaitement insoutenable et détestable.

Son maintient et son habit sont nobles. Pas ses manières. Antonin rit fort, parle en écartant grand les bras, jette des regards fous et curieux autour de lui. Il s'assoit comme un roi, les jambes écartées et posées en hauteur. Ses yeux, d'un bleu qui s'illumine comme ceux d'un démon, regardent ses interlocuteurs avec l'air de celui qui sait et qui ne craint ni les foudres de Dieu ni celles du Diable.

Passée l'ingratitude adolescente, Antonin s'est découvert un charme certain. Ses sourires évocateurs plaisent, il le sait. Ses airs de libertins aiguisent les âmes prédatrices. Ses cheveux brun et sa peau de bébé trouvent les mains assez délicates pour s'en abreuver de douceur. Son visage d'enfant attisent la maternité des dames. Ce qu'il porta longtemps comme une infâme disgrâce l'éleva comme l'un des garçons les plus agréables de son village. Pas tout à fait le parti que l'on puisse rêver, il s'agit néanmoins d'une très estimable personne à regarder lorsqu'il décide de bien vouloir l'être.


Caractère



Antonin creuse un mystère parfaitement paradoxal : Peut-on être très spirituel et vif et à la fois particulièrement débile ?

Antonin a une mémoire implacable. Il est capable de réciter à la perfection des poèmes, de longs monologues et pages de documents entiers qu'il n'a fait qu'entendre succinctement. Il peut se souvenir de grands plaidoyers et impressionne par sa capacité à déterrer des détails qui échappent à tous. Il peut lire l'esprit d'un auteur qu'en lisant ses œuvres et par cela, en imiter n'importe quel style. Mieux, il peut les améliorer tout en gardant la plume de celui qu'il copie. Son oreille est sensible aux mots, à leur sonorité, à leur poésie, à leur subtilité. Il sait instinctivement les marier avec une parfaite harmonie. Par eux, Antonin émeut son public et fait reconnaître son génie. Et ses adresses s'étendent bien au-delà des arts littéraires. Antonin peint, dessin, chante, joue de la musique... C'est également un génie des langues et c'est tout jeune qu'il inventait des dialectes d'une complexité mature qui échappait à toute compréhension autre que la sienne.
Son talent, cependant, ne vient pas seulement de la grâce du Ciel. Le jeune garçon est un acharné du travail et se fait lui-même bourreau de sa propre vie sociale. Capable de se mettre malade et de se rendre dans des états effroyables pour ses oeuvres, on fait volontiers de lui un obsessionnel et un dément. Antonin travail toujours seul car Antonin effraie toujours lorsqu'il travail. Il parle seul, s'énerve, hurle, pleure, s'agite, murmure, transpire et s'acharne avec une passion infernale. Sa recherche de la perfection l'emporte dans des humeurs dangereuses car il sait qu'il peut l'atteindre.

Cependant, sa virtuosité ne fait pas de lui un homme. Tout au plus un enfant qui a mal grandit. S'il fait passer son talent pour de l'intelligence, aucun intellectuel de ce siècle ne se trouve plus démuni d'esprit que ce pauvre garçon. Immature, irresponsable, fêtard et odieusement insolent. Antonin maitrise peu les protocoles de la noblesse que  et ses manières sont indécentes, impudiques et méprisables. Ce qui n'attise pas ses intérêts ne sont pas dignes de recevoir ses politesses. Ses mots blessent souvent. On le retrouve régulièrement le nez ensanglanté au seuil d'une taverne. Antonin n'est pas noble. Il sait se battre mais ne maitrise pas les armes. Seulement les mots. Et ça lui suffit amplement pour avoir cet attitude de dédain puéril face à ceux qui critiqueraient son art. Cette attitude d'indifférence pour tous les autres. Antonin n'a en responsabilité ni son argent qu'il dépense sans modération aucune, ni les autres qu'il blesse ou brise sans jamais s'en désoler.

Antonin, comme dans son travail, est excessif. C'est un amateur de tous les plaisirs et un sombre hédoniste. Il aime l'alcool, les jeux, les femmes, les fêtes. Il aime violer les règles, provoquer les puritains. Mais il aime les choses belles et spirituelles. Rien n'est plus sensible que lui aux arts et surtout : Aux beaux arts. Absolument pas jaloux de ses semblables, il en recherche au contraire la compagnie. Antonin, on l'ignore beaucoup, mais a aussi ses idéaux et ses combats. Rêvant d'un monde libéré de l'obscurantisme religieux, illuminé des antiques savoirs. Sa vocation est donc de fréquenter les grands esprits, autant que le siens est petit. En tout cas, laisse-t-il le penser. Plus que tout, il a la religion et la superstition en horreur.

Son attitude en société laisse toujours perplexe. Antonin rit de ses propres blagues, à gorge déployée, d'un son aigue et fou. Il baragouine en public, ne sait pas se tenir et encore moins tenir sa langue. Dans ses discours, il parle de mouvements amples, bouge beaucoup, tourne et ne respecte aucune frontière sociale. Si son génie est indéniable, son charme très agréable, ses collaborateurs et ses rivaux tendent à penser qu'Antonin est complètement stupide. Attardé, tout au plus.


Histoire



Une petite famille bretonne, inculte aux choses spirituelles et intellectuelles, avait toujours vécu dans cette partie reculée de la France où personne ne songeait à les visiter jamais. Sans doute serait-elle restée dans l'anonymat bienheureuse des gens honnêtes si l'un de ses enfants ne s'étaient pas fait reconnaître. Jean-Baptiste, un garçon tout à fait ordinaire, avait en passion les arts et les sciences. C'était un jeune prodige talentueux, humble et fervent chrétien. C'était un honnête homme mais qui connaissait parfaitement les perfidies de la noblesse et savait s'en avertir. Jean-Baptiste était un garçon qui, malgré une très pauvre ascendance, s'était fait remarqué par une grande maison française, la maison de Dreux dont la fille était tombée amoureuse de son lyrisme. Malheureusement, aucun mariage ne pu les réunir puisque Jean-Baptiste n'était ni riche, ni noble et n'avait pour lui que la belle langue française qu'il maîtrisait comme un bretteur maîtrise son épée. Aucun académicien de Paris ne le prit jamais au sérieux et il tomba dans l'oubli. Un jour, Eve de Dreux tomba enceinte et on comprit que le père n'était autre que Jean-Baptiste.

Lorsque l'enfant naquit, personne ne sut comment l'accueillir. La famille d'Eve de Dreux expulsa l'indésirable et son nourrisson hors de Paris, loin de leur fille bien-aimée qui hurla des jours et des mois son poète et son fils. Cependant, on lui fit vite faire une raison. Elle épousa un notaire à qui elle offrit son titre et deux beaux enfants.

Jean-Baptiste retourna en Bretagne où il y avait encore son frère qui l'accueillit à bras ouverts. Roland, le frère de Jean-Baptiste, pris le jeune Antonin comme son propre fils quand son père partait pour satisfaire des clients de quelques rimes élogieuses et surtout lorsqu'il avait affaire avec quelques marchands. Roland n'était pas un homme très spirituel et Jean-Baptiste l'avait bien évité, comme le reste de la famille, pour cette bonne raison. Il avait en horreur la bonhomie paysanne de son village et trouvait à s'épanouir dans les grandes villes. Aussi, il refusait bien que son fils prenne de cet air-là. Dès qu'ils arrivèrent à Grainne, Jean-Baptiste poussa son enfant, qui n'avait que quelques mois à peine, à parler. Il lui lisait de longues histoires, répétait encore et encore les mots les plus complexes de la langue française pour l'habituer à un vocabulaire peu commun, lui parlait souvent et interdisait à Roland de parler en patois devant son fils. Lorsqu'Antonin déclama son premier mot, Jean-Baptiste le reçu comme le plus beau des miracles. Très tôt, il lui faisait répéter des mots, des verbes. Lui apprit à lire, à écrire. Lui emportait des pages et des pages à lire, à retenir, à réciter, à recopier... Si Jean-Baptiste était d'un laxisme affolant envers tous les caprices de son fils, il était cependant intraitable dans ses exercices de langue. Il lui enseigna également la musique, revenait de Paris ou d'ailleurs avec des tableaux et des partitions que des amis lui avait vendus à bon prix. Jean-Baptiste n'avait pas abandonné son amour de la poésie mais avant laissé toute sa carrière pour encourager son fils à devenir comme lui. Antonin eut des rêves pleins les yeux. Se passionna de tout ce que son père lui enseigna. Il apprit à mépriser son oncle, son village. Rêva d'ailleurs et se laissa bercer par les promesses de son père qui lui accordait dans ses lettres que bientôt, il lui ferait rencontrer sa mère. Il n'avait que sept ans mais quand les petits garçons de son âge jouait dehors, Antonin écrivait déjà de merveilleuses nouvelles.

Bien que son talent se développa très jeune et que son père louait son fils comme un génie absolu, la jeunesse d'Antonin ne fut pas la plus agréable. Son père s'absentait des jours, des mois entiers et laissait son enfant à la charge de Roland. Roland, évidemment, n'aimait pas tout cela. Il était absolument certain que Dieu n'approuvait pas tout cela et puisque l'art était inutile, alors les artistes étaient des fainéants. Roland n'avait jamais bien su où se trouvait le travail dans celui de composer des rimes, des pièces ou des romans. Il n'entendait que des mots les uns à la suite des autres et n'avait cure des sentiments. Son véritable intérêt était de trouver de quoi nourrir cette petit bouche qui ne travaillait pas. Puisque Jean-Baptiste laissait le foyer souvent sans un sou. Aussi, Antonin fut une victime facile pour la rancœur de Roland. Pour sa jalousie aussi. Il le traita de fainéant, de bon à rien. Il le força à travailler et le rabaissa. Puisqu'ils n'étaient pas noble, il n'avait pas le luxe d'être poète. Puisqu'ils n'étaient pas riche, il n'avait pas le luxe de travailler de son esprit. Antonin ne l'entendait pas de cette manière et fut souvent rossé de coups de bâton, de ceinture ou de sabot. C'était un enfant calme mais qui savait se faire entendre. Roland détestait Antonin car il avait le talent de son père mais certainement pas ses vertus chrétiennes. Bien au contraire. Antonin, pour déplaire à son oncle, était d'une impétuosité tenace et d'une insolence rare. Jean-Baptiste fut vite dépassé par l'intellect de son fils mais également par son caractère bien trop fougueux. Jean-Baptiste pensait que le village devenait trop étroit pour la brillance de son fils. Il pensait qu'Antonin réussirait là où lui avait échoué : Se faire mécener. Mieux ! Se faire anoblir par le roi ! C'était son rêve et il l'avait fait hériter à son enfant qui y songeait toutes les nuits en se couchant dans la paille, entouré des livres que son père lui amenait.

Jean-Baptiste contacta Eve. Elle avait mûrit mais était resté amoureuse de la verve et de la gentillesse de son ancien amant. Ce dernier y comptait pour annoncer leur fils à Paris. Bien qu’illégitime, Jean-Baptiste savait qu'Antonin s'épanouirait bien mieux dans les cours royales et les salons. Eve et Jean-Baptiste discutèrent longtemps par lettre. Puis un jour, Jean-Baptiste ne répondit plus à aucune de ses lettres. Ni à celle de son fils. Il ne revint plus jamais et plus personne au monde n'entendit parler de lui.

Antonin avait douze ans. Roland était certain qu'il était mort. Antonin, lui, espérait très fort que son père prenait juste les eaux. Cependant, il ne revint jamais et au fil des années, sous le poids de son oncle et de la raillerie des gens du village, Antonin perdit espoir. Son père était le seul qui avait des contacts à la cour et le seul à pouvoir le sortir de ce village perdu. Antonin s'isola pour ruminer son deuil et sa solitude qu'il venait à peine de comprendre immense. Il écrivit beaucoup à ce temps-là. Incapable de s'améliorer, incapable de trouver un regard attentif à ses travaux pour se corriger. Et enfermé par Roland qui décida d'en faire un homme travailleur et un bon chrétien, Antonin vit tous ses espoirs réduit en cendre.

Cependant, par esprit de contradiction, il mena une guerre impitoyable contre son oncle. Il se mit à boire, à jouer, à courir les femmes. Parfois même les hommes. Il accueillit le vice et le péché chez lui et dans ses oeuvres pour mieux punir son oncle d'avoir tué son père. Car Antonin, par besoin d'un coupable à blâmer, ne put trouver meilleur bouc émissaire que Roland. Il devint un adolescent absolument méprisable et se mit à copier les personnages de chevalier, de comte ou de duc dans les livres de son père. Il imita les cavaliers de l'école d'Arme. Plusieurs fois, on l'y surprit d'ailleurs pour y voler des livres. Antonin avait prit l'habitude de se faire humilier et malmener par les jeunes cavaliers qui ne voyaient en lui qu'un pitoyable lapin sans esprit, sans manière et sans nom.

Antonin est bien connu dans le village. Le poète sans le sou, ni le titre. Le coureur, le voyou. Celui qui poursuit les couventine avant de se faire corriger correctement par un chevalier.  Celui qui rêve d'amour pastoral tel que le dépeint Virgile mais qui ne sait rien faire que la fête. Cependant, personne ne peut parler de son talent sans une humilité presque religieuse. Et c'est avec un grand plaisir que certains personnages de qualité qui s'arrêtent près de la ville viennent écouter quelques uns de ses mots ou s'abreuver de son art. Antonin alors profite d'étendre sa réputation qu'il souhaiterait remonter jusqu'à Paris jusqu'à qu'enfin une bonne âme ne le prenne sous son aile et ne le sorte de cet enfer qui ne veut de lui qu'obéissance et chrétienté. Chose tout à fait impossible pour son âme trop fantaisiste.


Derrière l'écran



Pseudo : PehnPi
Âge : 21 ans, bientôt.
Comment avec-vous connu le forum ? Par PRD
Que pensez-vous du forum ? Je le trouve très intéressant, quelques maladresses ici et là et un peu mort mais le contexte, l'ambiance voulue et le design sont vraiment intéressant et je me suis dis que ce serais injuste et dommage de ne pas tenter le coup.
Quelle est votre disponibilité ? Dès que je peux. Je suis étudiant donc je ne promet pas une régularité de métronome.
Autre chose ? Je vous aime déjà.
© Ju de Never-Utopia


Dernière édition par Antonin Duroy le 23/3/2015, 04:17, édité 6 fois
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╄Main De Dieu╄
La Mère Supérieure
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MessageSujet: Re: Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy   Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy I_icon_minitime22/3/2015, 16:06

Et bien et bien et bien !
Voila un personnage aussi intéressant que complexe. Vous m'en voyez ravie.
Il me tarde de voir de quel bois vous êtes fait.
Nous verrons ainsi si vous êtes plutôt un homme du savoir ou un villageois Smile

Si vous avez la moindre interrogation, n'hésitez pas à me contacter.
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villageois
Antonin Duroy
Antonin Duroy


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MessageSujet: Re: Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy   Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy I_icon_minitime23/3/2015, 04:21

Pardonnez-moi, ma Mère car j'ai péché. Ca fait très longtemps que je ne me suis pas confessé.
Cependant, je pense avoir achevé ma fiche et voilà quelque chose qui pourrait m'absoudre de tous mes crimes, non ? Entre nous...

Quoiqu'il en soit, j'espère que le personnage plaira. Votre compliment me touche ! J'espère que le reste suivra. Je vous laisse juger de mon sort et de mon groupe. Et mille mercis pour l’accueil <3
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Maître d'Armes
Franz Rittmeister
Franz Rittmeister


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MessageSujet: Re: Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy   Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy I_icon_minitime23/3/2015, 17:56

Votre personnage est, de toute évidence, aussi intéressant que vous savez manier le verbe, Antonin. C'est un plaisir de vous accueillir ici, en espérant simplement que les ombres ne vous effraient pas...

PS : Je vous prierai de cesser promptement de singer les cavaliers, ou c'est de mon fer que devrez tâter.
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villageois
Antonin Duroy
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MessageSujet: Re: Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy   Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy I_icon_minitime23/3/2015, 19:30

Vous me faites un honneur, messire Rittmeister. Je suis sincèrement touché, merci.

Ne vous inquiétez pas. Ces ombres-là, je les connais depuis trop longtemps pour en pâlir. Mais vous êtes bien aimable de vous en soucier <3

P.S. : Moi, singer les cavaliers ? Je n'oserai ! Comment un homme de votre éducation peut-il trouver la moindre parité avec les pauvres manières d'un misérable garçon de campagne tel que moi ? Vous me flatteriez ! Et mes fesses sont bien trop sensibles pour ce genre de caprice...
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MessageSujet: Re: Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy   Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy I_icon_minitime23/3/2015, 23:18

Que le seigneur dans son infinie bonté me pardonne le blasphème, mais..Bonté divine !
Que voici un homme complexe et infiniment humain.

Le pêché me pousse à signaler que j'ai décelé une minuscule faute de frappe, mais c'est uniquement afin de ne point trop vous louer. Il va sans dire que votre présence nous fait honneur, et que malgré le fait qu'il y a ici plus de vent que d'âmes, nous ferons tout pour vous faire bon accueil.

Je suis navré pour les petits détails encore imparfaits. C'est ma foi le risque à courir lorsqu'on met un point d'honneur à mener son projet de A jusqu'à MEN. Cependant, si vous voulez faire partie plus encore de l'aventure, la lumière de votre lanterne sera la bienvenue, à n'en point douter.

Bienvenue

Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy 1412111702UELu0D59
 Antonin


 
Soyez le bienvenu voyageur. Sachez que rien n'arrive par hasard en ces sombres contrées. Notre seigneur vous a aimablement confié à nous, et nous saurons nous en rendre dignes.

Je vous annonce humblement que vous êtes VALIDE. Vous pouvez dès à présent créer votre Registre et laisser la grâce divine vous guider dans cette nouvelle vie. (Nous aussi on vous aime déjà)

Amen.


 
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MessageSujet: Re: Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy   Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy I_icon_minitime24/3/2015, 16:01

Oh, arrêtez, vous me flattez. Outrager le Seigneur pour me faire louange... Vous me mettez dans une drôle de situation ! Mais ça fait toujours chaud au coeur, ça fait très longtemps que je n'ai pas reçu un accueil aussi chaleureux ! Vous êtes adorables.
Je ne fais honneur à personne... C'est vous qui m'en faites ! Au sujet des fautes, oui, il doit y en avoir, des fautes... Et pas que de frappe. C'est à peine si je me suis relu. Je m'en repent, la paresse fait partie de mes vilains défauts.

Quant aux maladresses... Je vous assure que ce n'est rien et que votre forum est bien plus fidèle à l'ambiance d'époque que tous les forums historiques que j'ai pu voir jusqu'ici (à moins que je ne cherche mal...). Votre projet mérite à être connu. Je tenterai d'ailleurs d'y rabattre quelques partenaires de jeu, lorsqu'ils auront un peu plus de temps que ça !

Encore merci à vous pour ces jolis compliments, je ne m'en remet toujours pas ! Je m’attelle à ma tâche immédiatement et au plaisir de vous croiser au détour d'un RP, mes fourbes amis !
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MessageSujet: Re: Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy   Je suis un homme vulgaire. Mais je vous assure que mon art ne l'est pas. # Antonin Duroy I_icon_minitime

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